Aggression brutale contre un jeune étranger à Corso Umberto

Picchiato dal branco a corso Umberto
Il aurait été encerclé sans raison et battu à sang, un jeune étranger agressé à Corso Umberto. La violence, perpétrée par un groupe de six personnes, lui a causé des...

OFFERTA SPECIALE

2 ANNI
99,98€
40€
Per 2 anni
SCEGLI ORA
OFFERTA FLASH
ANNUALE
49,99€
19€
Per 1 anno
SCEGLI ORA
 
MENSILE
4,99€
1€ AL MESE
Per 3 mesi
SCEGLI ORA

OFFERTA SPECIALE

OFFERTA SPECIALE
MENSILE
4,99€
1€ AL MESE
Per 3 mesi
SCEGLI ORA
 
ANNUALE
49,99€
11,99€
Per 1 anno
SCEGLI ORA
2 ANNI
99,98€
29€
Per 2 anni
SCEGLI ORA
OFFERTA SPECIALE

Tutto il sito - Mese

6,99€ 1 € al mese x 12 mesi

Poi solo 4,99€ invece di 6,99€/mese

oppure
1€ al mese per 3 mesi

Tutto il sito - Anno

79,99€ 9,99 € per 1 anno

Poi solo 49,99€ invece di 79,99€/anno

Il aurait été encerclé sans raison et battu à sang, un jeune étranger agressé à Corso Umberto. La violence, perpétrée par un groupe de six personnes, lui a causé des dommages à l'œil au point de devoir se rendre aux urgences.

L'épisode a été commenté par Francesco Emilio Borrelli sur son profil Facebook : «Vague irrépressible de violence et de criminalité. Les rues jamais aussi peu sûres qu'aujourd'hui».

Comme le raconte un témoin qui s'est adressé au député de l'Alliance Verte-Gauche Francesco Emilio Borrelli, la victime, qui serait un jeune homme d'origine étrangère, rentrait chez lui du travail lorsque trois scooters avec six personnes à bord l'ont encerclé puis violemment battu sans donner d'explications.

À ce moment-là, attirée par le bruit, une voiture de la police municipale serait arrivée sur les lieux mais les agresseurs s'étaient déjà enfuis. Le jeune homme a subi un traumatisme à l'œil, entraînant une fracture de l'orbite oculaire. C'est pourquoi il a été soigné d'abord à l'hôpital CTO puis transféré au service maxillo-facial de l'hôpital Federico II de Naples.

«La direction de l'hôpital nous a confirmé l'admission de ce jeune homme» a commenté Borrelli «Nous espérons que les six lâches agresseurs seront rapidement identifiés et arrêtés. La violence et la criminalité sont à l'ordre du jour, c'est une vague irrépressible et cela va empirer si on n'intervient pas avec détermination et fermeté : des peines certaines et plus sévères et plus d'agents dans la rue. Il n'est plus tolérable que ceux qui sortent de chez eux vivent constamment dans la terreur et sous la menace».

Lire l'article complet sur
Il Mattino