Pas une de moins, code rouge : stratégies, prévention, protection et empowerment des femmes victimes de violence

«Pas une de moins, code rouge : stratégies, prévention, protection et empowerment des femmes victimes de violence» : tel était le thème de la table ronde qui s'est tenue...

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«Pas une de moins, code rouge : stratégies, prévention, protection et empowerment des femmes victimes de violence» : tel était le thème de la table ronde qui s'est tenue aujourd'hui dans la salle Métaphore du tribunal de Naples, organisée par la section territoriale Campanie du centre d'études du réseau national forensique et par l'Ordre des avocats. Ont participé la présidente du Coa Immacolata Troianiello, la conseillère trésorière Nathalie Mensitieri, Annarita Patriarca de la Commission parlementaire d'enquête sur le féminicide, le président du tribunal de Naples nord Pierluigi Picardi, le procureur adjoint Raffaello Falcone, l'ambassadrice de l'Angola en Italie Fatima Jardim et l'ambassadeur du Burundi en Italie Ernest Ndabashiuze. «Je suis la première femme présidente de l'Ordre des avocats - a déclaré Troianiello - et je souligne que dès le début, la politique du Conseil a toujours été orientée pour combler les différences de traitement entre hommes et femmes qui se reflètent dans le domaine du travail et des revenus. Il devient donc indispensable et irremplaçable d'avoir une synergie complète avec toutes les institutions pour équilibrer ces déséquilibres évidents». Dans son intervention, le trésorier Mensitieri, se concentrant sur la violence de genre a expliqué que «le nombre de violences subies par les femmes n'est pas digne d'un pays civilisé. Le parcours pour garantir l'équité doit être complet, la réponse judiciaire ne peut représenter une solution car souvent, lorsque arrive le verdict du juge, il est trop tard. Il faut faire de la prévention en commençant essentiellement par les familles et les écoles. Mon souhait est que précisément depuis les salles de ce tribunal, chaque jour, puisse partir un signal de forte espérance et de profond respect pour toutes les femmes».
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Il Mattino