Un homme de 33 ans de Montoro arrêté pour trafic de drogue par le biais de chats téléphoniques

Montoro, arrestato pusher
Il aurait vendu de la drogue en utilisant les chats téléphoniques. Un homme de 33 ans de Montoro est sous les verrous. Les carabiniers de la section opérationnelle de la...

Continua a leggere con la nostra offerta speciale:

X
MIGLIORE OFFERTA
ANNUALE
19 €
79,99€
Per 1 anno
SCEGLI
MENSILE
1 €
6,99€
Per 3 mesi
SCEGLI
2 ANNI
40 €
159,98€
Per 2 anni
SCEGLI

VANTAGGI INCLUSI

  • Tutti gli articoli del sito, anche da app
  • Approfondimenti e newsletter esclusive
  • I podcast delle nostre firme

- oppure -

Sottoscrivi l'abbonamento pagando con Google

OFFERTA SPECIALE

OFFERTA SPECIALE
MENSILE
4,99€
1€ AL MESE
Per 3 mesi
SCEGLI ORA
 
ANNUALE
49,99€
11,99€
Per 1 anno
SCEGLI ORA
2 ANNI
99,98€
29€
Per 2 anni
SCEGLI ORA
OFFERTA SPECIALE

Tutto il sito - Mese

6,99€ 1 € al mese x 12 mesi

Poi solo 4,99€ invece di 6,99€/mese

oppure
1€ al mese per 3 mesi

Tutto il sito - Anno

79,99€ 9,99 € per 1 anno

Poi solo 49,99€ invece di 79,99€/anno

Il aurait vendu de la drogue en utilisant les chats téléphoniques. Un homme de 33 ans de Montoro est sous les verrous. Les carabiniers de la section opérationnelle de la compagnie de Solofra l'ont arrêté, en application d'une ordonnance d'assignation à résidence émise par le juge d'instruction du tribunal d'Avellino.

La mesure préventive a été émise dans le cadre d'une enquête, coordonnée par le procureur de la République, dirigée par le procureur Domenico Airoma. Les investigations ont été lancées à la suite de contrôles du territoire visant à prévenir le trafic de drogue, qui se sont terminés par la saisie de stupéfiants.

Au cours de l'activité, des chats, des messages et des appels ont été trouvés, ainsi que des écrits qui ont permis d'acquérir des éléments fortement incriminants à l'encontre de l'accusé, sur la base desquels on a estimé que ce dernier avait possédé, vendu et livré à divers acheteurs, dont un mineur, une quantité indéterminée de stupéfiants.

Lire l'article complet sur
Il Mattino