Fabio Cannavaro, invité de l'émission "Legends, on se voit à Naples" sur Sportitalia, animée par la journaliste Jolanda De Rienzo, avec les deux autres anciens bleus Sandro Renica et Raffaele Di Fusco. Le capitaine de l'Italie championne du monde a parlé de l'absence de sollicitation de la part de De Laurentiis pour diriger les bleus.
«Je ne pense pas que cela concerne l'expérience dans l'absence de mon nom parmi les 50 candidats examinés par De Laurentiis, pour le banc de Naples après Garcia. Le problème de Naples cette année est qu'il a changé trop d'entraîneurs et les joueurs ont dû assimiler trop de concepts différents. Il est normal qu'il y ait confusion. Avec l'Atalanta, c'est la dernière chance pour la Champions. Mon avenir ? Beaucoup de gens ne respectent pas l'expérience que j'ai acquise en Chine. Mais je suis un entraîneur et je veux entraîner. Même aujourd'hui, deux ans après mon retour en Italie, je continue d'étudier et de me mettre à jour parce que je sais que c'est ce que je veux faire».
Et enfin, concernant le projet du Centre Paradiso : «L'idée m'est venue il y a quelques années et je l'ai menée en silence. C'est une structure qui doit rester debout pendant cent ans et ne plus fermer. J'aimerais faire le secteur jeunes d'une école de football ou d'une académie avec l'objectif d'amener le plus grand nombre d'enfants possible à cet endroit».