Le 17 mars 1944, la dernière éruption du Vésuve a eu lieu. Quatre-vingts ans se sont écoulés et des initiatives sont en cours pour se souvenir de ce moment et surtout pour faire comprendre à la population ce qui a changé en termes de prévention et de sécurité pendant cette période.
Ce matin, lors de son intervention à l'émission de Rai Radio 1 «Giù la maschera», le directeur de l'Observatoire vésuvien-Institut national de géophysique, Mauro Antonio Di Vito, l'a expliqué. «Nous avons décidé de célébrer ce moment - a-t-il dit en répondant aux questions de Marcello Foa et Alessandra Ghisleri - dans l'observatoire le plus ancien du monde».
«En faisant comprendre comment on opère pour connaître le monde qui nous entoure. Hier, nous avons eu 400 personnes, grâce au travail réalisé en collaboration avec le parc, la protection civile, les volontaires et le bureau des études. Nous le faisons pour favoriser la connaissance et la formation, pour créer des citoyens conscients, un aspect qui est fondamental pour nous» a conclu Di Vito.