La Quête de Justice à Ibiza

sabato 2 agosto 2025, 14:01
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«Même cette fois, la justice l'emportera, je parle de justice, pas de vengeance». L'écrit, dans un post sur Facebook, Pino Noschese, le père de Michele, mort dans des conditions encore non claires à Ibiza lors d'une intervention de la police. Dans le post, le père de dj Godzi, bien qu'il ne fasse pas référence directe à l'affaire - qui a vu hier un développement, avec la saisie du corps sur ordre du procureur de Rome, qui a ouvert un dossier pour homicide involontaire et ordonné une nouvelle autopsie - répète un concept déjà exprimé plusieurs fois, à savoir que la famille veut seulement comprendre comment les choses se sont réellement passées et que justice soit faite. «Le vrai secret - écrit Pino Noschese - est de rester jeune, dans l'âme, dans la volonté, dans les pensées et aussi dans le corps. Pour y parvenir, il faut un entraînement constant et une préparation continue. La vie ne fait pas de réductions : elle nous met à l'épreuve chaque jour, sans préavis. Notre existence est une course d'obstacles contre le temps, c'est un marathon infini, chaque jour est une nouvelle compétition. Quand quelqu'un me demande : 'Comment ça va ?', je réponds toujours : 'Nous combattons'. Parce que la vie, c'est ça : un combat continu à affronter avec force, lucidité et dignité, non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour ceux qui ne peuvent pas le faire. Pour ceux qui sont partis trop tôt. Pour ceux qui souffrent. Pour ceux qui n'ont pas de voix. Pour ceux qui n'ont ni moyens, ni références. Pour ceux qui se sont perdus et ne savent pas comment revenir. Combattre, alors, devient un acte de justice et de vérité. L'important est de ne jamais laisser de place au 'vieux' qui de temps en temps pointe le bout de son nez en nous. Oui, lui-même», continue le père. «Celui qui de temps en temps se montre pour te dire que tu es fragile, que tu dois ralentir, que tu as besoin d'une canne pour te soutenir ou que tu ne peux plus soulever un poids, encore moins faire du sport. À ce vieux, j'ai toujours claqué la porte au nez, sans hésitations, sans regrets, il n'est jamais entré chez moi, je n'ai jamais eu besoin de sa compagnie gênante. Et maintenant ? Maintenant, je sais bien qu'il ne se montrera plus jamais, il ne m'a pas servi avant, encore moins maintenant. Bien, maintenant je pars, j'ai une autre bataille à affronter et je n'ai pas le temps d'écouter ses lamentations. J'ai déjà enfilé l'armure et les tambours roulent, 'à mon signal, déchaînez l'enfer'. Même cette fois - conclut Pino Noschese - la justice l'emportera, je parle de justice, pas de vengeance, celle-là est toujours réclamée par lui : le vieux, avec ses souvenirs fanés d'un temps révolu. Je demande seulement vérité et justice. Nous combattons toujours. Nous combattons tous», conclut-il.
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