Surveillance accrue de la zone phlégréenne et communication du risque volcanique

Terremoto ai Campi Flegrei
Terremoto ai Campi Flegrei
lundi 4 mars 2024, 14:26 - Dernière mise à jour : 5 mars, 10:36
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«La zone phlégréenne est fortement surveillée et il y a un échange continu et constant avec la communauté scientifique, y compris avec la commission des grands risques du département de la protection civile nationale. C'est donc de la communauté que viennent les éventuels signaux d'attention pour l'augmentation des niveaux d'alerte. À ce moment, il n'y a aucun signal qui va dans cette direction». C'est ce qu'a déclaré le directeur de la Protection civile de la Région Campanie, Italo Giulivo, en parlant aux journalistes en marge du débat sur «Campi Flegrei, déontologie de la communication du risque». La rencontre a vu la participation du vice-chef du département de la Protection civile, Titti Postiglione, la directrice du département des volcans de l'Ingv, Francesca Bianco, le directeur de l'observatoire Vésuvien de l'Ingv, Mauro Di Vito; du maire de Pozzuoli, Luigi Manzoni et a été modéré par le président de l'Ordre des journalistes de Campanie, Ottavio Lucarelli. «Il y a une évolution normale d'une zone en soulèvement qui entraîne également des secousses», a poursuivi Giulivo. Pour le directeur de la Protection civile de la Région Campanie, il est nécessaire de «diffuser des informations correctes sur la manière de décliner le risque volcanique. Il faut d'abord unifier les langages. Parler de dangerosité est différent de parler de risque; il faut avoir une propriété de langage lorsqu'on parle de ces phénomènes et l'information doit être basée sur une connaissance validée. Très souvent, elle est basée sur l'opinion du moment qui ne contribue pas beaucoup à la diffusion de la culture de la protection civile». Le déroulement des événements cause néanmoins de l'anxiété dans la population mais selon le vice-chef du Département de la Protection civile, Titti Postiglione, «ma première antagoniste de l'anxiété s'appelle information». Pour le maire de Pozzuoli, Luigi Manzoni, il est indispensable de se fier uniquement «aux sources officielles». La commune se trouve très souvent à faire face aussi «au problème de la gestion de l'anxiété qui est alimentée par la mauvaise information».
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